

























Tout bouge et pas vraiment, des êtres arrivent et d’autres partent, le difficile exercice de la compréhension de nos vies et de notre existence.
Mélangé à tout et tous, j’aime à regarder et commence à m’habituer, de façon incertaine, …de ne toujours rien comprendre à ce brol.
Souvent l’impression d’être juste à coté, dans le même mouvement mais juste à sa périphérie, rêvant à plus de libertés, à l’embrasement le plus absolu, je ne suis que vestige et balbutiement.

Et puis les oiseaux… on en parle des oiseaux 🙂

Petites découvertes musicale de ce soir.
Moments froids doux, le bois brûle, les maisons se changent.
Le ciel est proche et l’eau, prête à nous envahir de son intimité.
Un monde d’odeurs fines et rondes, grattant aux anges,
le réconfort solitaire des rêves oubliés.


